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De quoi en perdre son latin ! Les notes tyroniennes

 
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lepetitstenographe
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MessagePosté le: Dim 28 Oct 2007 4:48 pm    Sujet du message: De quoi en perdre son latin ! Les notes tyroniennes Répondre en citant

Un exposé de Denis Muzerelle, chercheur au CNRS, sur les notes tyroniennes, très savant, et qui conclut en émettant plus que de sérieux doutes sur son efficacité.

Citation:
Pour conclure, on est amené à se demander si le système tironien (tel qu’il a été pratiqué à l’époque carolingienne) était réellement efficace et praticable. Pour ma part, je diagnostiquerais une complète absence de rentabilité : les avantages qu’il est censé offrir sont sans commune mesure avec les efforts qui sont nécessaires pour le maîtriser. On peut d’ailleurs penser que nul n’y est jamais réellement parvenu : la fréquence avec laquelle les tachygraphes sont contraints de revenir à l’écriture usuelle le montre bien…

Il dit aussi que ces notes n'avaient probablement pas de rapport avec les procédés utilisés par les romains.

Mon résumé est un peu lapidaire mais je ne suis pas historien…
Vous pouvez consulter l'article à l'adresse http://aedilis.irht.cnrs.fr/manuscrit/notes-tironiennes.htm

Je vais essayer d'en faire un petit résumé plus construit pour l'insérer dans le site.

Yvon Bourlès
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fred



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MessagePosté le: Ven 09 Nov 2007 1:08 am    Sujet du message: Répondre en citant

L'article est fort intéressant, et me suggère deux réflexions : tout d'abord, faute de textes d'époque, on ne saura jamais à quoi ressemblaient exactement ni les notes prises par Tiron, ni les signes d'autres systèmes tachygraphiques ou sténographiques antérieurs (grecs, par exemple) qui ont très probablement existé ; mais des découvertes archéologiques peuvent toujours nous surprendre. Ensuite, l'engouement, à l'époque carolingienne pour le renouveau et la diffusion des notes tironiennes "remaniées" est pour le moins curieux, car l'apprentissage de cette écriture demandait des efforts importants et soutenus, comme s'il s'agissait d'apprendre le Chinois, et ce, pour un usage sans mesure avec la difficulté à surmonter, comme si on mettait un point d'honneur à apprendre un truc extrêmement complexe, juste pour dire qu'on y a réussi mieux que le voisin. En gros, c'était une sorte de "must" pour faire partie de l'élite intellectuelle. Cela me rappelle une autre mode plus proche de nous, le fameux Rubik's cube, que tout le monde a voulu pratiquer, histoire de bien se casser la tête ou d'épater les copains ! Les concours de rapidité que ce jeu a générés ne nous laissent-ils pas une impression de déjà vu ? L'alliance de la difficulté, de l'exploit et de la rapidité, quand tout cela reste futile ou inutile, ne relève-t-il pas du divertissement ou d'une espèce de jonglerie ? Sans doute relever ce genre de défi est-il inhérent à l'homme. D'ailleurs, si la sténographie moderne n'avait pas eu un rôle indéniablement utilitaire, ne serait-elle pas tombée dans le même travers ? La différence tient tout de même en sa relative facilité d'apprentissage, par rapport aux notes tironiennes, dont l'étude devait vite devenir "tyrannique" si elle était imposée !
Fred
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lepetitstenographe
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Messages: 721
Localisation: Rennes

MessagePosté le: Ven 09 Nov 2007 7:24 am    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour Fred,

Effectivement, en lisant cet article, je me suis aussi demandé si ces notes ne relevaient pas d'un jeu intellectuel, on se demande s'il n'y avait pas une volonté d'hermétisme… sans doute finissaient-ils par trouver le latin trop simple !
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mttiro



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MessagePosté le: Sam 13 Avr 2019 10:08 am    Sujet du message: Gerbert et les notes tironiennes Répondre en citant

J’ai posté un texte sur l’utilisation par Gerbert d’Aurillac (devenu pape sous le nom de Sylvestre II), 945/950-1003, dans Autres systèmes > Écriture syllabique de Gerbert.
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mttiro



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MessagePosté le: Sam 13 Avr 2019 2:19 pm    Sujet du message: Notes tironiennes Répondre en citant

On pourra également consulter la monographie d’Illo Humphrey, La sténographie latine (notes dites tironiennes) : état de la question, 2006.

https://www.researchgate.net/publication/299388320_Illo_Humphrey_Ph_D-HDR_La_stenographie_latine_notes_dites_tironiennes_etat_de_la_question_Colloquia_Aquitana_I_-_2005_Etudes_medievales_patrimoine_materiel_et_immateriel_Paris_2006_Editions_Le_Manuscr

Extraits :

(1)
103] L’utilisation courante de la sténographie latine, nous l’avons dit, est attestée abondamment par plusieurs générations de philosophes, hommes d’état, écrivains et historiens grecs et latins de la haute et la basse Antiquité, en l’occurrence Cicéron lui-même (7), Plutarque (Cool, Sénèque (9), Suétone (10), Aulu-Gelle (11). Ensuite, à partir du IVe siècle de notre ère jusqu’au VIIe siècle inclus, les témoignages de certains Pères de l’Église et de certains écrivains chrétiens, en l’occurrence : le poète Prudence (12), saint Augustin (13), Grégoire de Tours (14), Isidore de Séville (15), attestent également d’une pratique courante et usuelle de la sténographies latine. 2. Sources et Traditions manuscrites : Glossaires La sténographie latine (notes dites « tironiennes »), utilisée couramment dans toutes les facettes de l’administration de la Rome impériale, puis dans l’administration ecclésiastique à partir de l’époque de saint Cyprien de Carthage (http://www.amdg.easynet.be/sankt/cyprien-carthage.html), semble-t-il, ca. a. D. 200 – ca. 255-258, et ensuite dans les documents diplomatiques et administratifs mérovingiens (16), a connu un renouveau important, surtout en territoire de Neustria, à la fin du VIIIe siècle et durant la majeure partie du IXe siècle. Ainsi, du IXe siècle, il nous reste de nombreux manuscrits contenant des textes, gloses, glossaires, diplômes et documents de tout genres (bibliques, liturgiques, diplomatiques, littéraires, scientifiques, philosophiques, musicales, etc.), écrits en sténographie latine. Ce renouveau d’intérêt pour la sténographie latine correspond, sans doute, à la grande « correctio » ou « renovatio » entreprise sous l’impulsion de Charlemagne, avec le concours de ses proceres et missi donmini, aboutissant le 23 mars 789 à la promulgation du célèbre Capitularium intitulé « Admonitio generalis », article 72. Sacerdotibus (« Et ut scolae legentium puerorum fiant. Psalmos, notas, cantus, [Colloquia Aquitana I - 2005 | p. 104] compotum [computum], grammaticam, per singula monasteria vel episcopia et libros catholicos bene emendate [emendatos ?] ») ; à propos du capitulaire “Admonitio generalis ”, cf. l’édition d’A. Boretius (17).

(2)
Le dernier témoin connu de textes consignés en sténographie latine dans la période post-carolingienne date de la première moitié du XIe siècle. Ce texte est attribué au célèbre moine de Saint-Martial de Limoges, Adhemarus Cabanensis (Adhémar de Chabannes), mort à Jérusalem en 1034 à l’âge de 46 ans. Adhémar fut à la fois historien, liturgiste, poète et compositeur de versus et d’offices liturgiques dédiés à saint Martial, offices qui sont conservés, en partie, dans le manuscrit Paris, B. n. F., latin 1121 (1Cool. Ce dernier témoin, Paris, B. n. F., latin 7231 (19) contient entre autres le De musica de saint Augustin, copié de la main prolifique d’Adhémar de Chabannes, à qui on attribue également les annotations en marge et en interligne consignées en partie en sténographie latine, et ce dans un style d’écriture relativement claire utilisant dans l’ensemble des sténogrammes conformes à la tradition des plus anciens glossaires carolingiens (20). Ce témoin, précieux pour l’étude et l’histoire de la sténographie latine, constitue, semble-t-il, le tout dernier soupir de cette pratique qui a perduré, plus de 33 générations, c’est-à-dire pendant plus de 1000 ans entre Marcus Tullius Tiro et Adhemarus Cabanensis, avant de tomber en désuétude, puis d’être remise en valeur par l’humaniste néerlandais Janus Gruter (1560-1627). Le renouveau d’intérêt pour la sténographie latine, appelée communément depuis le XVIIe siècle « notae tironianae », n’a pas cessé d’interpeller les anciens philologues, paléographes et historiens des XIXe et XXe siècles, tout comme la nouvelle génération de proto-philologues, philosophes scientifiques, musicologues et historiens du XXIe siècle qui ont bénéficié de la découverte d’une abondance de gloses inédites en sténographie latine conservées dans des manuscrits du IXe siècle contenant les deux [Colloquia Aquitana I – 2005 | p. 145] traités De institutione arithmetica libri duo et De institutione musica libri quinque de Boèce.

Voir aussi
https://www.researchgate.net/publication/299387995_Illo_Humphrey_Ph_D-HDR_Trois_homelies_attribuees_a_Heiric_moine_de_Saint-Germain_d'Auxerre_Leur_ecriture_en_notes_tironiennes_Manuscrit_Bamberg_patristique_46_Q_VI_32_Bulletin_de_la_Societe_des_Fouill
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mttiro



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MessagePosté le: Sam 13 Avr 2019 3:25 pm    Sujet du message: Sténographie latine antique Répondre en citant

Ci-dessus, en 2007, Fred écriait ceci :

« faute de textes d'époque, on ne saura jamais à quoi ressemblaient exactement ni les notes prises par Tiron, ni les signes d'autres systèmes tachygraphiques ou sténographiques antérieurs (grecs, par exemple) qui ont très probablement existé ; mais des découvertes archéologiques peuvent toujours nous surprendre ».

L’espoir final de Fred a été réalisé.

On a trouvé dans le Northumberland, au sud du Mur d’Hadrien, dans le fort de Vindolanda, une série de tablettes en bois recouverte d’écrits à l’encre. Ces tablettes étaient repliées en accordéon quand nécessaire. Le mur a été construit postérieurement à la construction du fort. Les tablettes ont été rédigées aux alentours de 100 après Jésus-Christ et quelques années avant.

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Vindolanda

Et, en plus développé :

https://en.m.wikipedia.org/wiki/Vindolanda_tablets

Une de ces tablettes comprend un court écrit sténographique en notae (« tironiennes »). Voici cette vénérable tablette 122 (que mentionne Muzerelle) :

http://vindolanda.csad.ox.ac.uk/exhibition/122.shtml

Je n’en sais pas plus pour le moment, et en particulier sur l’interprétation de la tablette 122
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mttiro



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MessagePosté le: Sam 13 Avr 2019 5:44 pm    Sujet du message: Sténographie d’un discours de l’empereur Claude Répondre en citant

La sténographie des discours romains explique un fait instructif.

Au Musée de la civilisation gallo-romaine de Lyon (rebaptisé Lugdunum), est conservé une des plus belles inscriptions romaines, la Table Claudienne. L’empereur Claude était né à Lugdunum. En 48 il a prononcé devant le Sénat un discours dans lequel il autorisait les Gaulois à accéder aux magistratures et au Sénat à Rome.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Table_claudienne

En fait, nous avons non pas une, mais deux versions de ce discours. L’une est chez Tacite, et l’autre est sur la Table de Lyon. C’est vraisemblablement la version de l’inscription lyonnaise qui est la bonne. Elle a dû être notée en direct par un stenographe, et ce texte faisant foi à été déposé. Tacite, suivant la coutume des anciens historiens grecs et romains, arrangeait les choses à sa manière.

« One might imagine that the numerous speeches quoted in oratio recta by imperial historians are indirect evidence for the use of stenography. Unfortunately, classical historians considered it not only permissible but sometimes preferable to place their own words in the mouths of historical persons, and oratio recta is used as early as Thucydides and Xenophon, who did not work from stenographic records. In fact, even when a verbatim text is known to have been available, it might be disregarded.

A speech given by Claudius in AD 47 defending his policy of admitting Gaulish notables to the senate is quoted in oratio recta by Tacitus (11.24) but also on a bronze inscription found in Lyon, the capital of the Three Gauls. A comparison of the two texts reveals significant differences; yet the Lyon text must be based on an official transcript of the emperor’s speech; another copy would have been preserved in the Roman tabularium or public record office and available to Tacitus, who nonetheless preferred to give his own paraphrase in oratio recta rather than the actual words spoken by the emperor ».
http://www.pontos.dk/publications/papers-presented-orally/oral-files/bek_chrysostomos
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mttiro



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MessagePosté le: Sam 13 Avr 2019 5:52 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Voir la rubrique Tachygraphie antique et notes tironiennes, que j’avais créée un peu par erreur, n’ayant pas vu ce fil.
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mttiro



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MessagePosté le: Sam 13 Avr 2019 6:03 pm    Sujet du message: Tachygraphie médiévale Répondre en citant

Autre article par Illo Humphrey, 2018 :

https://www.researchgate.net/profile/Illo_Humphrey/project/Colloquia-Aquitana-V-3-4-5-aout-2018-Sainte-Foy-des-Vignes-24100-Bergerac-France-Notes-tironiennes-Histoire-Manuscrits-Paleographie-bassin-mediterraneenne-Renaissance-carolingienne/attachment/5b9ab5a83843b006753935ce/AS:670477513154572@1536865704798/download/Illo+Humphrey.Ph.D.-HDR.Sténographie-latine.Colloquia-Aquitana-V-2018.%283-5+août%29.13-IX-2018.pdf

Extrait :

« Notre étude, nous l’avons dit, traite la période entre le Ier siècle avant l’ère chrétienne jusqu’à la fin de la dynastie carolingienne du Xe siècle, période pendant laquelle le sténographie latine faisait partie intégrante de la panoplie des compétences des anciens scribes-secrétaires de langue latine. À partir du Xe siècle, on observe que la sténographie latine tombe peu à peu en désuétude et ne semble plus faire partie des compétences exigées des scribes et copistes. Les manuscrits qui retiennent l’attention de cette étude sont avant tout des glossaires-lexiques de sténographie latine, dont les deux plus anciens connus sont datables respectivement du VIIIe et du IXe siècle, en l’occurrence : le Codex Cassellanus, Gesamthochschule, 2° Ms. philol. 2, et le Codex Guelferbytanus 9, 8 Aug. 4°8. L’origine de ces deux manuscrits semble être l’abbaye bénédictine de Saint-Amand-en-Pévèle (auj. Saint-Amand-les-Eaux, Nord, 59230), qui faisait partie de l’ordo palatii 9, c’est-à-dire le réseau royal d’abbayes et de cathédrales en Neustria.

Ces deux manuscrits contiennent chacun un commentarius (glossaire-lexique de notes tironiennes) à peu près identique d’environ 14 000 signes sténographiques, lesquels incluent un précis de grammaire, un syllabaire, puis l’ensemble du vocabulaire latin romain et ecclésiastique. La pratique de la sténographie latine est attestée par de très nombreux manuscrits et documents d’archives mérovingiens et carolingiens issus des scriptoria de la Neustria faisant partie de l’ordo palatii. Les manuscrits qui conservent les textes et gloses en sténographie latine sont de types très variés. On y trouve des textes scientifiques, philosophiques, littéraires, théologiques, bibliques, liturgiques, musicaux, des psautiers, des recueils de lettres et de diplômes, originaires des scriptoria des abbayes de : Saint-Amand-en-Pévèle, Saint-Pierre de Corbie, Saint-Riquier, Saint-Bertin de Sithiu (Saint-Omer), Saint-Corneille-et-Saint-Cyprien de Compiègne, Saint-Rémi de Reims, Notre-Dame de Chelles, Saint-Germain-des-Prés, Saint-Benoît-sur- Loire (Fleury-sur-Loire), Saint-Germain d’Auxerre, Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Ferrières-en-Gâtinais, Saint-Martin de Tours, du double monastère pour femmes Sainte-Marie et Saint-Jean de Laon, de la schola palatina d’Aix-la-Chapelle, dirigée par Alcuin d’York (*ca. 730-735 – †804) entre 782 et 796, de la schola palatina de Laon, dirigée par l’irlandais Iohannes Scottus Eriugena (*ca. 810 – ca. †877) vers l’an 84510, etc ».
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